À Monaco, les ressortissants de l’Union européenne peuvent conduire avec leur permis national sans formalité particulière. Pour les non-Européens, il est possible de conduire avec un permis étranger pendant 1 an, puis il faut échanger son permis contre un permis monégasque si un accord existe. Sinon, il faudra repasser l’examen local. Documents à fournir : permis original, traduction officielle, justificatif de résidence.
À Malte, les permis de conduire européens sont valables sans démarche. Pour les titulaires d’un permis non-européen, il est possible de conduire pendant 12 mois. Au-delà, un échange est possible si un accord existe ; sinon, il faut passer le permis maltais. L’échange nécessite un justificatif de résidence et une traduction du permis.
À Dubaï (Émirats Arabes Unis), les ressortissants de certains pays (dont la France, la Belgique, le Luxembourg, la Suisse) peuvent échanger leur permis contre un permis local. Pour les autres nationalités, il faut suivre des cours et passer l’examen local. Les documents requis incluent le permis original, une traduction officielle, un visa de résidence et un test de vue.
Au Japon, il est possible de conduire avec un permis international (format Genève 1949) pendant un an. Passé ce délai, il faut obtenir un permis japonais. Certaines nationalités peuvent échanger leur permis sans repasser l’examen pratique, mais un test théorique et une traduction officielle sont toujours demandés.
Aux États-Unis, chaque État a ses propres règles. En général, le permis français (ou européen) permet de conduire pendant 3 mois, parfois accompagné d’une traduction ou d’un permis international. Pour s’installer durablement, il faut demander un permis de l’État de résidence, ce qui implique souvent de repasser le code et la conduite.
À Singapour, un permis étranger permet de conduire pendant 12 mois. Au-delà, il faut convertir son permis en permis singapourien (possible pour les Français), ce qui nécessite un test théorique local (Basic Theory Test) et la présentation du permis original, d’une traduction officielle et d’un visa de résident.
Au Portugal, les permis européens sont reconnus sans formalité. Pour les autres nationalités, il est possible de conduire pendant 185 jours, puis il faut échanger son permis contre un permis portugais si un accord existe. Sinon, il faut repasser l’examen local. Traduction officielle et justificatif de résidence requis.
En Suisse, les permis européens sont valables 12 mois. Après ce délai, il faut échanger son permis contre un permis suisse (sans examen pour la plupart des pays européens). Pour les autres nationalités, un examen pratique peut être exigé. Documents nécessaires : permis original, photo, certificat de résidence.
À Andorre, il est possible de conduire avec un permis étranger pendant 6 mois. Pour résider, il faut échanger son permis contre un permis andorran, sous réserve d’un accord entre les pays. L’échange nécessite le permis original, une traduction et un certificat médical.
Au Luxembourg, les permis européens sont valables sans formalité. Pour les autres, il est possible de conduire 1 an, puis il faut échanger son permis contre un permis luxembourgeois si un accord existe, sinon repasser l’examen local. Traduction officielle requise.
En Belgique, les permis européens sont valables sans démarche. Pour les autres, la conduite est possible 185 jours, puis il faut échanger le permis si un accord existe. Sinon, il faut repasser le permis belge. L’échange nécessite une traduction et un justificatif de résidence.
En Thaïlande, il est possible de conduire avec un permis international ou une traduction certifiée du permis d’origine. Pour un séjour long, il faut demander un permis thaïlandais auprès du département des transports, avec un certificat médical, un visa longue durée et une traduction du permis.
En Corée du Sud, un permis international permet de conduire pendant 1 an. Pour s’installer, il est possible d’échanger son permis français contre un permis coréen (avec traduction, apostille et examen médical). Pour d’autres nationalités, des démarches supplémentaires sont parfois requises.
En Australie, les règles varient selon les États. En général, le permis international ou une traduction certifiée permet de conduire 3 à 6 mois. Pour rester, il faut demander un permis local, souvent après un test théorique et/ou pratique. Documents requis : permis original, traduction, justificatif de résidence.
En Chine, le permis international n’est pas reconnu. Il faut obtenir un permis chinois. Pour cela, il faut passer un test théorique (en anglais possible dans certaines villes) et fournir une traduction officielle du permis, un visa valide et un certificat médical.
En Irlande, les permis européens sont valables sans formalité. Pour les autres, il est possible de conduire 12 mois, puis il faut échanger le permis si un accord existe. Sinon, il faut passer le permis irlandais. Traduction officielle et justificatif de résidence requis.